> Quatrième de couverture <
Clarisse est morte. Elle ouvre les yeux sur son corps mutilé, entouré par la police scientifique qui s’affaire sur la scène de crime de son propre meurtre, quelque part sur une route de montagne des Alpes françaises… Elle va se remémorer les heures qui ont précédé sa mort, afin de confondre son meurtrier. Des indices portent à croire qu’un tueur, recherché par la police depuis des années serait dans la région… Trouver son meurtrier une fois mort, le seul moyen d’accéder au repos éternel…
– Spécificités – * Editions: French Pulp Editions * Paru le 11/10/2018 * Nombre de pages : 382
Il y a un peu plus d’un an j’avais découvert Fabio M. Mitchelli par son livre « Le tueur au miroir » que j’avais beaucoup aimé (voici le lien de ma chronique : https://musemaniasbooks.blogspot.com/2018/01/le-tueur-au-miroir-de-fabio-m-mitchelli.html). Il faut savoir que l’écriture de cet auteur a une petite particularité : il s’inspire de faits réels et plus particulièrement, de vrais tueurs en série pour en tirer des thrillers.
Dans son dernier livre, « Le dernier festin », il s’inspire d’Andreï Tchikatilo, surnommé le « Monstre de Rostov », criminel célèbre aux tendances cannibales. Pour cette seconde lecture de cet auteur, j’en ressors un peu dubitative, peut-être par son côté un peu trop fantastique. Le début commençait plutôt bien car l’histoire y est racontée du point de vue de la victime, ce que j’ai trouvé particulièrement atypique.
Mais ce que j’ai moins apprécié en fin de compte dans ma lecture est le nombre conséquent de personnages qui débarquent au fil des pages. Car l’histoire initiale n’est qu’une infime partie du récit. Malgré les liens unissant les protagonistes, je les ai trouvés un peu alambiqués. Pour ce qui est du final, je ne m’y attendais pas mais alors, pas du tout!
Attention, ma lecture n’est pas négative pour autant mais je pense que j’en attendais plus ou peut-être devrais-je dire moins de difficultés, moins de liens tentaculaires. Vu que jamais deux sans trois et que je n’aime pas rester sur un sentiment un peu mitigé, je lirai sûrement un autre livre de Fabio M. Mitchelli (« Une forêt obscure », par exemple). pour ainsi ne pas terminer par cette note un peu moins positive que pour « Le tueur au miroir ».
Quand il y a trop de personnages, personnellement je m'emmêle les pinceaux. ��