> Quatrième de couverture <
À New York pendant l’hiver, un sniper insaisissable élimine des policiers un à un. Qui pourra l’arrêter ?
Alors que New York est paralysé par la tempête de neige la plus épouvantable de son histoire, un agent du FBI est tué au volant de sa voiture par un sniper réalisant un coup quasi impossible. Incapable de comprendre d’où le tir est parti et pressé par la tempête qui efface les preuves à grands pas, Brett Kehoe se tourne vers le seul homme à même de lui venir en aide : l’ancien agent Lucas Page.
Son talent surnaturel pour la lecture des scènes de crime, de même que sa compréhension des angles et des trajectoires, font de lui la seule personne susceptible de faire ce dont la puissance informatique du Bureau n’est pas capable : trouver la planque du sniper.
D’autant que le meurtre s’avère rapidement n’être que le premier d’une série d’exécutions méticuleuses.
> Spécificités < * Editions originales : Les Arènes, Collection: Equinox - Format « Poche » : Editions Points * Date de parution originale : 08/01/2020 - 11/03/2021 * Nombre de pages : 503 - 432 * Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Mathilde Helleu
Si vous cherchez un thriller palpitant, doté d’une grande dose de suspens, avec une enquête riche en rebondissements et qui se déroule sur les chapeau de roues : je vous l’ai tout trouvé avec « City of windows » de Robert Pobi. J’ai adoré ce livre de la première à la dernière page.
Après un meurtre perpétré par un sniper sur un agent du FBI, l’enquête est confiée à un ancien agent du Bureau : Lucas Page. Devenu professeur à l’université, asperger de haut niveau, il a une configuration spatiale totalement hallucinante et peut décrypter les scènes de crimes sans nulle autre pareille.
Ce personnage atypique d’enquêteur est diablement efficace et attachant. Il revient pour une seconde aventure sous le titre de « Serial Bomber », paru aux Editions Les Arènes, dans la collection Equinox et en format « poche » aux Editions Points.
Ce livre écrit de façon très visuelle, j’ai eu l’impression de vivre le récit. Malgré les un peu plus de 500 pages, ce page-turner se dévore littéralement. Je n’ai aucun grief pour ce livre qui a été un véritable coup de coeur.
Je vous le conseille très fortement!