Mercredi 26 mai 2021
Bande dessinée
“Un avion sans elle” de Michel Bussi, par Fred Duval et Nicolaï Pinheiro aux Editions Glénat, 176 p.
Le best-seller de Michel Bussi en bande dessinée !
Crédule Grand-Duc veut mourir. L’enquête de sa vie a échoué… Depuis 18 ans, il cherche l’identité de Lylie, la miraculée du Mont Terrible, une petite fille rescapée du crash du vol Istanbul-Paris survenu le 23 décembre 1980. Car deux bébés étaient à bord ! Les Carville et les Vitral, deux familles que tout oppose – Les Carville, issus de la haute bourgeoisie industrielle française et les Vitral, vendeurs de frites sur la côte normande – se disputent celle que la presse ne tarde pas à surnommer Libellule. La justice finit par confier l’éducation de Lylie aux modestes Vitral. Engagé par les Carville, le détective s’est lancé dans un périple de dix-huit ans d’interrogations, d’hypothèses, de coups tordus, et d’échecs… Et puis… Alors qu’il va presser la détente, Crédule observe une dernière fois la Une du journal de l’époque… Soudain, tout est clair…
Littérature noire
“Les exfiltrés de Berlin” d’Harald Gilbers aux Editions Calmann-Lévy (collection : Noir), 448 p., traduction non communiquée.
Berlin, 1947. Dans une capitale allemande divisée et affamée, le commissaire Oppenheimer est appelé sur le lieu d’un crime banal : un cambrioleur tué par le locataire de l’appartement dans lequel il est entré par effraction. Un cas d’autodéfense classique ? Oppenheimer en doute et découvre des zones troubles.
Pendant ce temps, son collègue Billhardt disparaît en pleine enquête sur la mort d’un pickpocket retrouvé avec d’étranges documents sur lui. Oppenheimer comprend que les deux crimes sont liés et se retrouve bientôt confronté à un réseau secret d’exfiltration d’anciens nazis vers l’Argentine. Encerclé par les traîtres jusque dans les rangs de la police, il aura fort à faire pour ne pas sombrer.
Cinquième enquête d’Oppenheimer.
Jeudi 27 mai 2021
Littérature blanche
“Bons baisers de Brooklyn” de Cecily von Ziegesar aux Editions Michel Lafon, 392 p., traduction non communiquée.
Bienvenue à Brooklyn, le quartier le plus branché de New York, où les célébrités côtoient l’élite désœuvrée. Ici, les murs des gratte-ciel huppés ne sont jamais assez hauts pour garder les secrets. Quatre couples, quatre mariages au bord du gouffre, vont en faire les frais. Que ce soit Mandy, la jeune maman en pleine dépression prête à tout pour attirer l’attention de son mari Stuart, Peaches, l’infirmière loufoque qui ne supporte plus le sien, ou encore Tupper, dont la femme a visiblement oublié l’adresse du domicile conjugal, tous vont découvrir que le scandale frappe n’importe où et n’importe quand, surtout quand on s’y attend le moins… Ajoutez des adolescents en pleine crise, un pyromane de neuf ans et un médecin aux pratiques douteuses, vous obtiendrez un cocktail détonnant de mensonges, de désillusions et d’ego frustrés… Il suffit d’une étincelle pour que tout explose.
“A 20 heures sur le quai” de Léa Wiazemsky aux Editions Michel Lafon, 381 p.
Tous les samedis matin, d’un accord tacite, une jeune femme et un jeune homme se retrouvent dans une rame de métro, et, le temps d’une poignée de stations, se dévorent des yeux. Leur dialogue silencieux se joue sur les airs d’accordéon de Liviu, un jeune musicien témoin de leur amour naissant. Mais aujourd’hui, c’est décidé, il ira lui parler. Quelques mots, un rendez-vous donné, et déjà il doit quitter son inconnue dont il ne connaît même pas le nom.
Et puis, c’est le chaos. L’épaisse fumée qui sourde des entrailles plonge à nouveau Paris dans la désolation. Ceux qui se relèvent s’en trouvent à jamais changés, conscients que la vie est précieuse et l’amour, salvateur. Lui n’a plus qu’une chose en tête, retrouver celle dont le coeur est rivé au sien.
Vendredi 28 mai 2021
Littérature noire
“Une nuit sans fin” d’Eric Chavet aux Editions La Jouanie, 175 p.
Novembre, un soir pluvieux. Un homme roule lentement – trop lentement ? – sur une nationale.
Un deux-roues le suit depuis quelques kilomètres, le harcèle de coups de Klaxon, tente de le doubler, le percute. La voiture stoppe sur le bas-côté, le motard est à terre, un trente-huit tonnes débouche du virage et va l’écraser !
L’automobiliste, à l’abri dans son véhicule, peut encore le sauver… ou pas !