> Quatrième de couverture <
POUR LUI, TOUT EST ÉCRIT D’AVANCE
POUR ELLE TOUT RESTE À ÉCRIRE
« Un jour d’avril, ma fille de trois ans, Carrie, a disparu alors que nous jouions toutes les deux à cache-cache dans mon appartement de Brooklyn. »
Ainsi débute le récit de Flora Conway, romancière renommée à la discrétion légendaire. La disparition de Carrie n’a aucune explication. La porte et les fenêtres de l’appartement étaient closes, les caméras de ce vieil immeuble new-yorkais ne montrent pas d’intrusion. L’enquête de police n’a rien donné.
Au même moment, de l’autre côté de l’Atlantique, un écrivain au cœur broyé se terre dans une maison délabrée.
Lui seul détient la clé du mystère. Et Flora va le débusquer.
> Spécificités < - Editions : Calmann-Lévy - Date de parution : 26/05/2020 - Nombre de pages : 304
Cela faisait longtemps que je ne m’étais plus évadée avec un livre de Guillaume Musso. En deux jours, je l’ai dévoré. Pourtant, une fois la dernière page tournée, c’est un sentiment d’inachevé qu’il me reste et cela me peine d’écrire cela.
Tout commençait bien aux premiers abords avec le récit de cette écrivaine à succès, Flora Conway dont la fille de 3 ans a mystérieusement disparu, en 2010, de son appartement de Brooklyn. Puis soudainement, il y a eu une envolée fantastique qui, là je crois, m’a tout simplement perdue. Je pense que c’est cette petite composante qui m’a dérangée, étant peut-être trop terre-à-terre en ce moment dans mes lectures. C’est peut-être juste la période qui veut ça.
Malgré cet écueil, ma lecture ne s’est pas forcément hyper mal passée. Ainsi, certains éléments constituant ce livre méritent d’être salués. Le premier concerne les nombreuses allusions et références au monde de la littérature (dans le texte ou par les citations accompagnant chacun des chapitres) m’ont notablement plues et je les ai trouvées très à-propos au regard du titre du bouquin. Une autre originalité se trouve dans le corpus du livre en différenciant bien la mise en page et les polices selon les documents.
La dernière remarque en clin d’oeil que je ferais est que j’ai apprécié la réflexion et le ton au second degré employé par Guillaume Musso pour décrire le métier d’écrivain.
Je remercie les éditions Calmann Lévy et Sarah A. pour l’envoi de ce livre.
« Parce que écrire de la fiction, c’est se rebeller contre la fatalité de la réalité ».