Merci beaucoup aux éditions Fayard et à Netgalley pour ce thriller que j’ai, littéralement, dévoré cet été.
> Quatrième de couverture <
Aux limites du virtuel et de la réalité, les nouvelles technologies conduisent parfois à la folie !
Des cyberattaques paralysent la PJ de Nantes, infiltrent l’intimité des policiers et cernent une ville où le moindre objet connecté peut devenir une arme mortelle. Alors que les victimes s’accumulent, une jeune commissaire à peine sortie de l’école et son adjointe issue du “36” affrontent ensemble un ennemi invisible.
Toutes les polices spécialisées seront mobilisées pour neutraliser la nouvelle menace de la science complice du crime.Prix du Quai des Orfèvres 2018
– Spécificités – * Editions: FAYARD * Paru le 15/11/2017 * Nombre de pages : 408
J’ai parfois du retard dans mes lectures mais dans le cas présent, je suis contente d’avoir pu le lire après le génialissime « Toutes blessent, la dernière tue » de Karine Giebel. En effet, la barre est tellement haute placée, que c’est ensuite difficile de se plonger dans un autre thriller ou roman au risque de le trouver sans grand intérêt.
Eh bien ici, on se trouve face à un très bon roman policier qui nous tient en haleine au fil de ses pages. Dans le genre « page-runner », on a un bon candidat entre les mains car les chapitres courts permettent une lecture rapide, tant le suspens monte crescendo et que la fin nous attend avec impatience.
Tout commence par la mort des frères jumeaux Pelland au même moment, à la seconde près, à la suite de la défaillance de leur défibrillateur cardiaque. Face à ce mystère scientifique, la PJ de Nantes prend en charge ce dossier plus complexe qu’il n’y parait.
Les moyens informatiques qui venaient normalement en aide aux enquêteurs du XXIème siècle vont se retourner contre eux, au point de mettre leur vie en danger. J’espère que l’auteur poursuivra les aventures de cette équipe de la PJ de Nantes car le filon est bon et autant battre le fer tant qu’il est chaud !