Merci beaucoup aux Editions Fayard/Mazarine et à Netgalley qui m’ont permis de me changer les idées en me plongeant dans ce livre « feel-good » bien sympathique.
> Quatrième de couverture <
Après un accident de voiture, Léo, professeure de philosophie dans un lycée du Sud-Ouest se réveille face au fantôme de sa grand-mère, mamie au caractère bien trempé et à la répartie cinglante. Contre toute attente, la jeune femme devra composer avec cette présence qui ne la quittera plus d’une semelle et va bouleverser sa vie irrémédiablement.
Une histoire pour se reconstruire, qui fait du bien, mêlant amour, amitié et secrets de famille.
– Spécificités – * Editions : Fayard/Mazarine * Paru le 21/02/2018 * Nombre de pages : 270
J’ai l’habitude de vous présenter des thrillers et romans policiers. Mais comme certains d’entre vous l’ont appris, j’ai récemment perdu ma grand-mère. C’est pourquoi j’ai cherché un livre « feel-good » dans ma pile à livres et je suis tombée sur cette histoire. Quand vous lirez le résumé, vous vous direz que c’était tout à fait prédestiné et effectivement, c’était le cas.
Je vous aihabitué à vous faire part de mes coups de cœur qui sont généralement des thrillers, des polars, voire des suspens. Mais je ne souhaite pas rester cloîtrée dans ma zone de confort et domaine de prédilection. C’est comme ça que j’avais choisi ce livre sur Netgalley, il y a déjà quelque temps. Mais, hélas, je ne savais pas que peu de temps après, je me retrouverais dans cette situation.
On suit les aventures de Léona, professeure de philo dans un lycée qui, un matin, est victime d’un accident de voiture. Alors qu’elle se réveille à l’hôpital, elle se rend compte qu’elle « voit » le fantôme de sa grand-mère, décédée alors qu’elle était encore petite. Au fil des jours, elle va même s’habituer de cette présence et redécouvrir une grand-mère à la langue bien pendue qu’elle n’a pas ou peu eu la chance de connaître.
Je vous avoue que c’est le genre de lecture qui fait simplement du bien. On ne cherche pas de la grande littérature en se plongeant dans ce type de récit mais tout simplement à oublier nos petits bobos de la vie quotidienne.
J’ai apprécié l’écriture « pensée » de Laure Rollier qui nous donne l’impression de lire dans nos pensées. On y redécouvre des thèmes comme la considération de la famille mais aussi des gens qui nous entourent ainsi que l’importance de la priorisation dans nos choix.
C’est léger et gentil, peut-être un peu mièvre mais je ne demandais pas plus à ce livre ; il a donc parfaitement rempli sa mission avec en prime un bon final inattendu pour moi.
S’il fallait trouver un petit inconvénient, c’est le regret que ce roman soit si court car on s’attache vite et facilement à la petite ribambelle de personnages.