> Quatrième de couverture <
Lauréat du prix Pulitzer, universitaire new-yorkais, Jacob Dreyfus a passé une année infiltré au sein de la milice suprémaciste des Aryan Blood. Le procès qui s’ensuit – qui a fait tomber le redoutable King, sénateur de Géorgie -, a coûté la vie à sa femme, assassinée par les néonazis. Réfugié avec son jeune fils à Gourdon, petit village de Provence sous une nouvelle identité, il coule enfin des jours paisibles.
Jusqu’à l’instant où, dix ans plus tard, il apprend le décès de sa famille entière, éparpillée aux quatre coins des USA. Ils sont tous morts à la même seconde exactement, sans qu’on puisse d’aucune façon relier leurs décès. Que s’est-il passé ? Jacob, en compagnie de Bernard Solane, un vieux flic français anarchiste et épicurien, va chercher à le découvrir.
Mais qui est cet Horloger dont l’empreinte, de la Patagonie à la Côte d’Azur, de la Louisiane à Bruxelles, semble marquer chaque étape du parcours de Jacob et de celui Solane ?
- Spécificités - * Editions originales : Editions Héloïse d’Ormesson * Date de parution originale : 08/02/2024 * Nombre de pages : 458
« L’horloger » est le premier roman du belge Jérémie Claes. Et pourtant, ce livre est une bombe ! Autant vous dire que pour un premier essai, il est réussi et même, très fortement réussi ! Bien malin aurait été celui qui aurait pu soupçonner qu’il s’agissait d’un primo-écrivain.
Son protagoniste principal, Jacob Dreyfus, est un journaliste américain qui, durant plus d’un an, a infiltré une milice suprémaciste, les Aryan’s Blood. Celle-ci est occupée et protégée par les plus hautes sphères du pouvoir américain. Le travail de longue haleine de Dreyfus a permis d’en révéler les sympathisants évoluant dans toutes les strates de la société. Il a même décroché un Prix Pulitzer. Mais le revers de la médaille est que sa tête ainsi que celles de ses proches sont mises à prix, les obligeant à fuir et se cacher, une cible sur le dos…
Ce thriller est tout simplement fascinant et captivant de la première à la dernière page de l‘ouvrage. Pas un seul instant, je ne me suis ennuyée. Au contraire, j’avais même grand mal à devoir quitter les personnages. Dès ce livre de 450 pages entre les mains, préparez-vous à être embarqué illico et sur les chapeaux de roue dans une intrigue très bien ficelée, selon les codes des meilleurs auteurs de thrillers et ce, d’une main ou devrais-je plutôt écrire, d’une plume de maître.
Bien loin d’autres ouvrages traitant du même thèmes, Jérémie Claes a opté pour l’originalité. En effet, rien que la temporalité, par exemple, a de quoi surprendre. Au début en 2008-2009, on file ensuite en 2019 avec des bonds en arrière, au camp d’Auschwitz-Birkenau en 1942 !
Terriblement actuel avec le sujet du racisme, du complotisme et des milices suprémacistes aux États-Unis, on y voyage mais aussi en France, en Italie, en Belgique et même en Patagonie tout ayant toujours à l’esprit que l’on veut à tout prix savoir qui est derrière ce fameux horloger.
Tant le fond que la forme ont tout pour plaire. En tout cas moi, je me suis régalée. Bon vent à Jérémie Claes qui a définitivement placé la barre très haute.
Je remercie Sarah ainsi que les Editions Héloïse d’Ormesson pour leur confiance.
» Il ne comprend pas pourquoi il faudrait nécessairement être désagréable quand on est un tueur. «
Bonjour Julie,
Déjà merci pour ce partage plein de dynamisme et de compliments concernant ce nouvel auteur.
J’aurais une demande. Je souhaiterais m’inscrire à votre newsletter sans passer par X ou Facebook… mais je ne trouve pas le lien pour le faire.
Votre présentation sur Worldpress est plus attractif que sur Babélio, d’où ma demande
Cordialement
Agnès
Bonsoir Agnes,
Merci beaucoup pour votre message, cela me touche beaucoup.
Je regarde à ça car j’avoue que je ne m’y suis jamais intéressée à ce sujet.
Je reviens vers vous dès que je trouve.
Belle soirée,
Julie
Bonsoir Agnes,
Voilà, j’ai installé sur la page de mon blog, tout à droite, en dessous des menus, un outil où vous pouvez vous inscrire à ma newsletter.
N’hésitez pas à me dire si cela fonctionne correctement.
Merci d’avance.
Bonne soirée,
Julie