> Quatrième de couverture <
Ils sont hors-la-loi
Mais ils œuvrent pour le bien
Ils sont amis et partagent leurs secrets, affrontent les mêmes dangers,
Et pourtant ils ne se sont jamais rencontrés…
C’est arrivé la nuit, une course folle et terrifiante dans les rues d’Oslo, Madrid, Paris, Tel-Aviv, Istanbul et Londres.
Et un pari dangereux : s’attaquer à la vilenie du monde.
> Spécificités < - Editions originales : Robert Laffont / Versilio - Format "poche" : Pocket - Date de parution originale : 07/04/2020 - Format "poche" : 06/05/2021 - Nombre de pages : 464 - 416
Cela faisait un sacré bout de temps que je ne m’étais plus plongée dans un livre de Marc Levy; non par manque d’intérêt mais sûrement plus par manque de temps, je pense. Car oui, contrairement à d’autres lecteurs, je n’ai aucune honte à dire que j’apprécie sa plume et c’est sûrement l’un des écrivains qui m’a donné le goût de la lecture quand j’étais beaucoup plus jeune avec ses premiers livres comme « Et si c’était vrai » ou « Sept jours pour l’éternité ».
Pour ses dernières oeuvres, Marc Levy a fait le pari de nous transporter aux quatre coins du monde grâce à une trilogie consacrée à 9 héros hackers et sobrement intitulée « 9 ». Etant d’un naturel impatient et ne voulant pas attendre, j’ai préféré m’y plonger lorsqu’au moins deux tomes étaient disponibles. C’est pour cela que j’ai attendu mai 2021 pour me lancer dans la lecture du premier tome intitulé « C’est arrivé la nuit ».
Je suis rapidement retombée sous le charme de cette plume, peut-être sans fioritures mais tellement imagée qui transporte son lecteur en évasion. C’est dans un univers foncièrement différent de ce à quoi il m’avait habituée que l’auteur m’a fait voyager. Écrit en partie sous la forme d’interviews, cette composition originale a su me plaire.
Totalement dans l’air du temps, au coeur des nouvelles technologies et de notre société hyper -connectée, nous y faisons la rencontre de Robin des Bois des temps modernes pour qui injustices et iniquité ne peuvent se produire et doivent à tout le moins être proscrits du mieux qu’ils peuvent. A plus d’un titre, on se rend compte que les manigances des plus grands sont souvent odieuses et que pourtant, le plus grand nombre d’entre nous y ferment les yeux. Je pense au niveau pharmaceutique à titre d’exemple.
On ne peut qu’être impressionné par le travail de documentation et d’expertise qui ont dû être nécessaires à la rédaction de ce livre. Car oui, des recherches ont dû être menées pour maîtriser aussi bien le sujet complexe du bouquin.
J’ai apprécié ce voyage aux quatre coins du monde dans une course dynamique rythmée de suspens et d’actions. Une fois lancée dedans, je ne me suis pas rendue compte du temps qui passait et des pages qui défilaient. Ayant déjà le second tome, « Le Crépuscule des fauves », je ne laisserai sûrement pas beaucoup de temps s’écouler avant d’y plonger.
Je remercie les éditions Robert Laffont / Versilio et Sarah Altenloh pour leur confiance.
Je comprends ton engouement pour la plume de Levy ; je partage le même ! Personnellement, le premier livre que j’ai lu de lui et que je te recommande fortement s’intitule ; « Le premier jour ». Ensuite, très dernièrement, j’ai lu « Elle & lui », un livre entièrement romantique de sa composition. Je l’ai dévoré, et je te laisse ici le lien de ma chronique si tu veux le tenter ! https://labibliothequedecloe.fr/chronique-sur-le-livre-elle-lui/
J’adore la présentation que tu fais de son dernier livre ; je suis d’accord pour dire à quel point Levy sait mettre à profit ses recherches dans ses livres. Ce doit être un travail particulièrement rigoureux !
Sinon, quel livre de lui me conseilles-tu d’autres ?
Au plaisir d’échanger bientôt,
Cloé.
Bonjour Cloé,
Merci pour ton message.
J’avais aussi aimé « Le premier jour ». Je l’ai lu avant d’ouvrir ce blog et donc, je ne l’avais pas chroniqué à l’époque. As-tu lu la suite, « La première nuit »?
Si non, mon préféré reste « Sept jours pour l’éternité ». C’est l’un de ses premiers romans mais il reste mon coup de coeur.
Je file lire ta chronique,
A bientôt,
Julie