> Quatrième de couverture <
Les ténèbres sont mon domaine. Le métro, ma cité des morts. La souffrance de mes victimes, mon plaisir.
Je suis le Chien. Inquisiteur ou Guerrier saint, comme vous voudrez. Dieu est avec moi.
Djeen, je croyais l’avoir tuée. C’était il y a trois ans. Déchiquetée par les roues du métro.
Et voilà qu’elle me menace… Je dois la retrouver avant que Kovak ne le fasse. Et ce jour-là signera l’apogée du Mal.
> Spécificités < - Editions originales : Albin Michel - Format "poche" : Le Livre de poche - Date de parution originale : 29/03/2017 - Format "poche" : 16/05/2018 - Nombre de pages : 428
« Le jour du chien » de Patrick Bauwen est un thriller dont je vous ai déjà parlé dans une de mes premières chroniques lorsque j’ai ouvert mon premier blog en 2017. J’avais « dû » le lire dans le cadre du Grand Prix des Lecteurs du Grand Livre du Mois (devenu depuis « L’Actu Littéraire ». Cela avait été un véritable coup de coeur.
Ayant eu la chance de recevoir en avant-première le dernier tome de la trilogie de Patrick Bauwen « L’heure du diable » grâce au site Babelio et aux éditions Albin Michel mais ne me souvenant plus de toutes les subtilités de l’histoire, j’ai décidé de reprendre au tout début. C’est ainsi que j’ai redévoré « Le jour du chien ».
Voici ce que j’en disais à l’époque : «Cinquième roman de Patrick Bauwen et je suis toujours sous le charme de cet auteur. Selon moi, ses thrillers n’ont rien à envier aux maîtres français des thrillers comme Maxime Chattam ou Bernard Minier ; ils se trouvent au même niveau que ceux-ci.
Après une “banale” agression dans le RER, Christian Novak croit reconnaître sur une vidéo, son épouse Djeen, décédée quelques années auparavant, après avoir été poussée sous un métro par un tueur en série.
Aidé par son beau-frère, Sam et par Audrey, présente lors de son agression, Christian va reprendre l’enquête du meurtre de son épouse ; ce qui le mènera aussi bien dans les hautes sphères que dans les catacombes de Paris…
Véritable suspens, le lecteur sera propulsé, dès les premières pages, au milieu de l’intrigue et découvrira le livre comme un film, tellement les descriptions des lieux font que l’on peut aisément s’imaginer dans les décors.
L’écriture est fluide, les personnages sont finement décrits et la trame donne envie aux lecteurs de redécouvrir Paris et ses lieux oubliés comme les Catacombes par exemple.
Je reste définitivement fan de cet auteur et le seul bémol a été, selon moi, de terminer le bouquin… »
J’en reste totalement conquise. Alors que certains livres relus à une autre époque m’avaient parfois un peu déçue ou n’y trouvant plus tout l’enthousiasme qui m’avait entourée lors de leur découverte, ce thriller reste pour moi un très bon représentant de la littérature noire. Je ne peux que confirmer mon premier avis, datant de trois ans déjà. Je maintiens que les membres du jury du Grand Prix des Lecteurs et moi-même avons très bien fait de choisir ce lauréat car il le méritait amplement.
Maintenant, il ne me reste plus qu’à découvrir le second tome « La nuit de l’ogre » que je n’avais pas encore pris le temps de lire avant de me plonger dans la fin de cette trilogie de génie. Quelque chose me dit que je vais passer de prochaines heures de lecture palpitantes. A bientôt pour mes prochaines chroniques.