> Quatrième de couverture <
Mac Murphy est un soldat d’élite. Mac Murphy est fort. Mac Murphy est dur. Mac Murphy est fou. Mac Murphy trimbale dans sa tête une épouvantable machine à brouillard qui engloutit ses souvenirs, sa raison et l’essentiel de son âme, morceau après morceau.
Quand les habitants de Grosvenore-Mine, ce village perdu dans les profondeurs de l’Australie, se hasardent à enlever la fille de Mac Murphy, ils ne savent pas à quel point c’est une mauvaise idée.
Une époustouflante plongée dans l’amour d’un père pour sa fille et dans les tréfonds de la démence d’un homme. Inlâchable. Attention : cauchemar.
> Spécificités < - Editions : Taurnada - Date de parution: 13/02/2020 - Nombre de pages : 208
Cette fois-ci, ma lecture m’emmène dans un village perdu au fin fond de l’Australie à la rencontre de Mac Murphy et de sa fille. Mais en même temps, dans un hôpital secret des forces armées. Deux lieux pour au final, une même histoire remplie de suspens.
Nous disposons d’un journal de bord médical dans lequel Mac Murphy, soldat délite, revient sur les événements qui se sont passés à Grosvenore-Mine alors qu’il y effectuait un arrêt, en compagnie de sa fille. Au fil des pages, il nous narre son histoire.
Les mots d’ordre de ce livre pourraient être : ne vous fiez à personne! Les faux-semblants et la folie sont les enjeux essentiels du récit. Cela se lit assez rapidement et j’ai aimé cette quête de la vérité, savoir quel était le vrai du faux. Le paradoxe entre cet ancien soldat d’élite et l’amour profond du père est finement disséqué.
Ce qui m’a empêché d’avoir un coup de coeur serait le style d’écriture, parfois difficile à suivre et assez brut. Bien entendu, ce n’est que mon humble avis personnel. Le héros principal étant atteint de troubles psychiques, il était normal que sa façon de s’exprimer soit assez déstabilisante. Mais ce thriller rythmé a très bien rempli son job en m’ayant fait passé un très bon moment.
Un tout grand merci aux éditions Taurnada pour leur confiance.
Je ne sais pas si cela me plairait mais ta chronique m’intrigue, je prends donc note de ce titre !
Bonne journée