> Quatrième de couverture <
Et si seul le Mal pouvait combattre le Mal ?
Une véritable épidémie de meurtres ravage la France.
D’un endroit à l’autre, les scènes de crime semblent se répondre. Comme un langage ou un jeu.
Plusieurs tueurs sont-ils à l’œuvre ? Se connaissent-ils?
Très vite, l’hexagone ne leur suffit plus : l’Europe entière devient l’enjeu de leur monstrueuse compétition.
Pour mettre fin à cette escalade de l’horreur, pour tenter de comprendre, une brigade pas tout à fait comme les autres, épaulée par un célèbre profiler…
- Spécificités - * Editions originales : Albin Michel - Format « Poche » : Editions Pocket * Date de parution originale : 02/05/2012 - Format « Poche » : 13/11/2004 * Nombre de pages : 300 - 544
Après l’échec cuisant de ma dernière entrevue avec Maxime Chattam et son dernier opus « Lux » (voir ma chronique sur mon blog), je n’avais pas envie de rester sur une mauvaise note.
A l’occasion de sa dernière parution au format « poche » avec le tome IV (sur IV) des aventures de Ludivine Vancker, « La constance du prédateur », j’ai eu la chance de partager un moment privilégié en la compagnie de l’auteur et de trois amis blogueurs et instagrammeurs : Nathalie du compte Instagram et du blog @Mes lectures du dimanche (même alias sur Instagram), Frédéric Ernotte de @La Boîte et aussi auteur, Pascale du compte Instagram @Entre deux pages ainsi que Thibault du compte Instagram et blog @Le Belge qui lit. Toute cela avait été orchestré par le trio magique de l’Iris Noir et grâce aux Editions Pocket.
Je me suis, dès lors, dit que c’était l’occasion de lire cette quadriplégie dans l’ordre et donc, de débuter par le commencement avec « La Conjuration primitive ».
Là, j’ai pu y retrouver la plume bien noire et acérée de Maxime Chattam, comme je l’aime tant. Je l’ai dévorée littéralement (le livre bien sûr, pas l’auteur hein !) les pages montant crescendo…
De nombreuses surprises et rebondissement égrènent l’enquête policière, au point que le lecteur a l’impression de la » vivre » lui aussi. Chaque détail a été pensé et réfléchi ; rien n’est laissé au hasard et ça, j’apprécie beaucoup !
Bien entendu, Maxime Chattam aime se jouer de ses lecteurs et ce livre en est l’exemple criant. Page-turner incontournable de la bibliographie de l’auteur, je l’ai adoré de bout en bout…
Tellement heureuse de retrouver à nouveau les éléments que j’aime chez cet auteur, je ne peux que vous le conseiller très vivement.
Je remercie encore les Editions Pocket et l’Iris Noir de m’avoir offert cette magnifique opportunité.