> Quatrième de couverture <
Dans une petite ruelle de Tokyo se trouve Funiculi Funicula, un petit établissement au sujet duquel circulent mille légendes.
On raconte notamment qu’en y dégustant un délicieux café, on peut retourner dans le passé.
Mais ce voyage comporte des règles : il ne changera pas le présent et dure tant que le café est encore chaud.
Quatre femmes vont vivre cette singulière expérience et comprendre que le présent importe davantage que le passé et ses regrets.
Comme le café, il faut en savourer chaque gorgée.
> Spécificités < * Editions originales : Albin Michel - Format « Poche »: Le Livre de Poche - Format « Audio » : Audiolib * Lu par Philippe Spiteri * Date de parution originale : 29/09/2021 - Format « Poche » : 14/09/2022 - Format « Audio » : 11/05/2022 * Nombre de pages : 200 * Durée: 05h25min * Traduit du japonais par Miyako Slocombe
Au sein d’une des ruelles tortueuses de Tokyo, se trouve un petit café qui, aux premiers abords, ne paie pas de mine. Pourtant, il s’y passerait des choses étranges… En effet, si on s’assoit à une certaine place en y buvant un café, on pourrait retourner dans le passé. Mais attention, certaines règles se doivent d’être respectées comme le fait de revenir avant que la tasse de café ne soit devenue froide ! Quatre femmes vont choisir d’en faire l’expérience.
Étant encore novice en matière de littérature asiatique, j’étais ravie que la sélection en lice pour le Prix Audiolib 2023 compte un roman japonais afin de pouvoir étendre mes horizons littéraires. Et franchement, je l’ai beaucoup aimé.
Ce roman sans prétention offre un très beau moment d’évasion. Alors que j’étais passée à côté de sa parution en broché en 2021, j’ai découvert un livre, empreint d’une touche de philosophie qui fait réfléchir et encore plus apprécier le moment présent.
J’avoue, qu’au début, j’étais parfois perdue parmi les personnages aux noms à consonance asiatique, vu que je ne faisais qu’ »écouter » l’histoire alors que j’ai habituellement une mémoire très visuelle. N’ayant pas les noms sous les yeux, j’avais l’impression de faire un gros méli-mélo avec les différents protagonistes. Surtout que le livre n’est lu que par un seul lecteur même si je dois bien reconnaître que Philippe Spiteri modifie les intonations selon les personnages !
Alors, afin de m’y retrouver, j’ai décidé de tester l’écoute audio avec la lecture du livre écrit. Le résultat est que j’ai adoré cette « expérience ». C’est comme si j’avais vécu une totale immersion dans le récit. Au contraire d’une lecture ou écoute seule, ça a été une version argumentée que j’ai eu l’impression de découvrir.
S’il y a un seul petit élément que je relèverai dans cette écoute, c’est de connaître la raison pour laquelle avoir choisi un lecteur « homme » alors que la majorité des personnages sont des femmes ?
Je ne remets pas en cause le lecteur, bien loin de là, mais c’est une question que je me pose.
Bref, cela a donc été une très bonne écoute pour ma part et il m’a vraiment donné l’envie de lire le second roman de Toshikazy Kawaguchi, « Le café du temps retrouvé ».
Ecouté pour le Prix Audiolib 2023.
J’ai fais comme toi, j’ai écouté l’audio en lisant le livre en même temps. Je trouve cette expérience encore plus immersive et enrichissante.
Depuis que j’ai fait ça avec ce livre, j’avoue que je préfère ainsi. Comme tu le dis, c’est tellement plus immersif.
Donc, dès que j’ai la possibilité (si je ne fais pas quelque chose en même temps que mon écoute), hop, je prends le livre 😉