> Quatrième de couverture <
Dans la petite ville d’Akranes, une femme est retrouvée morte près du phare.
Qui pouvait en vouloir à cette mère de famille sans histoires ? L’enquête est confiée à Elma, inspectrice, de retour après vingt ans passés à Reykjavik.
Aux prises avec ses propres démons depuis une rupture douloureuse, elle se retrouve plongée dans les plus sombres secrets de cette tranquille communauté.
> Spécificités < - Editions originales : Editions de La Martinière - Format "Poche" : Editions Points - Date de parution originale : 20/05/2021 - Format "Poche" : 08/04/2022 - Nombre de pages : 496 - 398 - Traduit de la version anglais (après l'islandais) par Ombeline Marchon
Comme d’habitude, chez moi, les polars nordiques ont souvent beaucoup de succès. « Elma » n’en démordra pas. Même s’il n’est parfois pas évident de se trouver face aux noms à consonance islandaise, j’ai adoré cette enquête policière.
L’enquête est peut-être aux premiers abords somme toute assez classique mais je ne me suis ennuyée à aucun moment. Elma, ancienne flic à la brigade criminelle de Reykavik revient dans son bourg natal d’Akranes, un petit bled comptant moins de 8.000 habitants mais faisant pourtant face à un mystérieux crime.
Pour un premier roman, l’auteure a déjà placé la barre haute car on pourrait s’y méprendre à ce qu’il s’agisse de son énième bouquin, tant il est abouti. Je n’ai pas trouvé de points de friction qui m’auraient fait dire qu’il s’agit d’un primo-livre.
En temps de canicule, ce petit bout de fraîcheur, tant par le climat islandais que par la froideur des événements s’y déroulant, m’a fait le plus grand bien. Maintenant, il me reste à me plonger dans le second livre d’Eva Björg Ægisdóttir avec le personnage d’Elma: « Les filles qui mentent », dont je ne manquerai pas de vous en parler.