> Quatrième de couverture <
1919. Louisa Cannon rêve d’échapper à sa vie misérable à Londres, mais surtout à son oncle, un homme dangereux. Par miracle, on lui propose un emploi de domestique au service de la famille Mitford qui vit à Asthall Manor, dans la campagne de l’Oxfordshire. Là, elle devient bonne d’enfants, chaperon et confidente des soeurs Mitford, en particulier de Nancy, l’aînée, une jeune fille pétillante à l’esprit romanesque. Mais voilà qu’un crime odieux est commis : une infirmière, Florence Nightingale Shore, est assassinée en plein jour à bord d’un train. Louisa et Nancy se retrouvent bientôt embarquées dans cette sombre affaire.
> Spécificités < - Editions ordinales : Le Masque - Ici, Le Livre de Poche - Nombre de pages : 534 - Date de parution : 16/05/2019
Le mois de juin fut encore riche en lecture pour le Prix des Lecteurs des Editions du Livre de Poche. Je vous ai déjà chroniqué « Taqawan » d’Eric Plamondon (qui fut d’ailleurs mon préféré, https://musemaniasbooks.be/2019/06/30/taqawan-deric-plamondon-thriller/) ainsi que « Retour sur l’île » de Viveca Sten (https://musemaniasbooks.be/2019/07/16/retour-sur-lile-de-viveca-sten-polar/). Il me restait donc « L’assassin du train » de Jessica Fellowes.
Le patronyme « Fellowes » vous dit sûrement quelque chose… Si, si réfléchissez bien… En effet, vous connaissez déjà peut-être Julian Fellowes, entre autre auteur lui-même mais surtout scénariste de la série télévisée anglaise « Downton Abbey », succès retentissant il y a quelques années qui fût ardemment suivie par la Reine Elisabeth II, her-self.
Sa nièce a été à bonne école car elle aussi s’attache à cette période de l’après première guerre mondiale. D’un fait divers réel (le vrai assassinat de Florence Nightingale, encore non résolu à ce jour), elle en tire un vrai roman d‘aventure policier aux accents so English pour nous.
J’ai particulièrement aimé cette ambiance très Agatha Christie mais où le bât blesse, ce sont les longueurs imposées par l’auteure. Souvent, j’ai trouvé des passages forts longs et parfois inutiles. Je peinais à tourner les pages malgré cette atmosphère historique que j’aime assez bien. Voilà donc la raison principale qui fait que ce livre a hélas fini dernier de mon top 3 des livres du mois de juin et c’est bien dommage.
Bien entendu, ce n’est que mon humble avis personnel. Je ne peux que vous conseiller de vous faire votre propre avis et je serai ravie d’en débattre avec vous 😉