> Quatrième de couverture <
Paris, un atelier d’artiste caché au fond d’une allée verdoyante.
Madeline l’a loué pour s’y reposer et s’isoler.
À la suite d’une méprise, cette jeune flic londonienne y voit débarquer Gaspard, un écrivain misanthrope venu des États-Unis pour écrire dans la solitude. Ces deux écorchés vifs sont contraints de cohabiter quelques jours.
L’atelier a appartenu au célèbre peintre Sean Lorenz et respire encore sa passion des couleurs et de la lumière. Terrassé par l’assassinat de son petit garçon, Lorenz est mort un an auparavant, laissant derrière lui trois tableaux, aujourd’hui disparus. Fascinés par son génie, intrigués par son destin funeste, Madeline et Gaspard décident d’unir leurs forces afin de retrouver ces toiles réputées extraordinaires.
Mais, pour percer le véritable secret de Sean Lorenz, ils vont devoir affronter leurs propres démons dans une enquête tragique qui les changera à jamais.
Guillaume Musso signe un thriller addictif et envoûtant porté par des personnages profondément humains. Une plongée vertigineuse dans le monde mystérieux de la création.
– Spécificités – * Editions : XO Editions * Paru le 30/03/2017 * Nombre de pages : 470
Fan de la première heure de Guillaume Musso, j’avais un peu délaissé ses livres depuis quelques années. Dans son avant-dernier livre paru, « Un appartement à Paris », il laisse le côté « surnaturel » de ses premières œuvres pour se consacrer à l’écriture d’un thriller et grand bien lui fasse ! Cet été, j’ai donc décidé de me plonger dans ce bouquin et je ne peux que m’auto-congratuler car je l’ai adoré 😉
Certains médiront Guillaume Musso, surtout jaloux de son succès mais grâce à ce thriller, j’ai passé un très bon moment entre Paris, Madrid et New-York. Le rythme dans l’histoire monte crescendo pour qu’une fois le livre en mains, vous ne puissiez plus le lâcher. J’en sais quelque chose, j’ai eu la blague, m’enfermant dans mon cocon jusqu’à pas d’heures et même aux petites heures de la nuit.
Gaspard Coutances est un dramaturge à succès misanthrope au possible tandis que Madeline Greene est une ancienne policière anglaise ayant bossé temporairement pour la police new-yorkaise. Leur point commun ? Le fameux appartement à Paris qui a appartenu à Sean Lorenz, peintre dont les toiles s’échangeaient pour des millions de dollars mais qui a connu une fin tragique après la disparition effroyable de son fils. À son décès, il aurait laissé trois toiles mystérieuses, pour lesquelles Gaspard et Madeline s’allieront afin de les retrouver…
Ceci n’est qu’une infime partie de l’histoire mais je tairai la suite pour vous en laisser la surprise comme j’en ai eu l’occasion en lisant ces pages car il n’en sera que meilleur.
Comme Guillaume Musso m’avait habituée avec ses premiers ouvrages, il a gardé une écriture très scénarisée et imagée permettant de parcourir l’aventure en compagnie de ses personnages. Les ressentis sont forts et les émotions transparaissent facilement. Chacun des personnages est nécessaire au déroulé de la trame et on s’y attache facilement.
J’ai vraiment aimé redécouvrir cet auteur et cette fois-ci, je n’attendrai plus aussi longtemps pour le lire, qu’importe les critiques non méritées dont il est victime. C’est peut-être de l’écriture « simple » mais pour l’été plus particulièrement, je n’en demandais pas plus et j’ai apprécié 😉